Sont généralement appelés tests de compréhension verbale, certains tests créés par Bonnardel entre 1950 et 1955. Bien qu’ils soient parfois controversés car jugés obsolètes (les interprétations n’étaient pas les mêmes dans les années 50 qu’aujourd’hui), les recruteurs continuent à utiliser certains d’entre eux comme le BV8, le BV50, le BV51, le BV16 ou le BV17.
Ces épreuves ont pour but d’évaluer l’intelligence du point de vue de la compréhension des idées. Ils sont notamment utilisés pour apprécier les capacités d’analyse et de synthèse d’un candidat confronté à des significations.
L’exercice se présente sous la forme d’une double page comportant des séries de mots (en ce qui concerne le BV8) ou de propositions " chapeautées " de maximes, proverbes ou pensées (pour le BV50, le BV51, le BV16 et le BV17).
Le BV16 et le BV17 sont toujours très utilisés aujourd’hui, notamment dans le recrutement des commerciaux et des candidats à des postes de marketing ou de communication. Ils se présentent sous la forme d’une série de onze pensées de moralistes du 17e siècle. A chaque pensée, sont attribuées six phrases parmi lesquelles le candidat doit souligner les deux dont le sens lui semble être le plus proche de la maxime proposée. Il dispose de 15 minutes pour l’" étude " de ces onze pensées.
Le BV 8 se compose, quant à lui, d’une succession de séries de six mots parmi lesquels le candidat doit trouver celui dont l’idée diffère de celle véhiculée par les cinq autres.
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